Le Parisien: des négociations salariales en peau de chagrin
Après une sixième réunion de NAO (Négociations Annuelles Obligatoires) le 31 mars dernier, la direction du Parisien a annoncé qu’elle
Site du syndicat général des journalistes fo (SGJ-FO)
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Le syndicat des éditeurs de la presse magazine (SEPM) a convoqué les organisations
syndicales de salariés à deux reprises ces dernières semaines pour des discussions sur les
salaires.
Après de très longues années d’absence totale de dialogue social et aucune augmentation
de salaire dans la branche, on aurait pu espérer que ces discussions débouchent enfin sur
un peu de «grain à moudre» pour les salariés.
Lors de la première réunion, les syndicats unanimes avaient estimé que la revalorisation des
minima salariaux ne pouvait, en tout état de cause, pas être inférieure à 2% afin de repartir
vers un dialogue social constructif.
Très peu pour quelques-uns, rien pour les autres, la direction d’Infopro Digital a montré le peu de considération qu’elle a pour les salariés du Groupe Moniteur à l’occasion de la négociation annuelle obligatoire (NAO). En réponse, les salariés se réunissent le 18 mars pour décider des actions à mener.
Le traitement dans nos journaux de l’agression dont a été victime notre confrère Christian Lantenois a créé un malaise au sein de la rédaction. (…) Le syndicat général des journalistes Force ouvrière, regrette les interprétations inappropriées de la direction et de la rédaction en chef et s’associe sans réserve aux démarches qui seront entreprises pour qu’un acte fort permette aux journalistes de travailler sereinement sans avoir à rougir des choix de leur hiérarchie.
Le 16 mars, le Sénat entamera l’examen de la proposition de loi sur la sécurité globale. […] Mais le président de la République, Emmanuel Macron n’a toujours pas répondu à la lettre ouverte que lui ont adressé les syndicats de journalistes […] Le 16 mars un rassemblement est appelé devant le Sénat. D’autres manifestations et rassemblements auront lieu dans toute la France le 20 mars. Le SGJ-FO appelle ses adhérents et tous les journalistes à y participer pour:
– le retrait de la PPL Sécurité globale et du SNMO,
– le retrait des décrets élargissant le fichage
– le rétablissement plein et entier des libertés de se rassembler, de s’exprimer et de manifester.